Nos circuits

du port d’attache du Djebel Amour (le Cratère) en direction de Nosy Komba et de son village principal (Ampangorina) 9 milles nautiques, soit environ 1h30 de navigation.

Sur bâbord, la somptueuse forêt primaire de la réserve de Lokobé, seule zone forestière originelle qui subsiste sur l’île de Nosy Be. Cette forêt tropicale humide plonge brutalement dans la mer, offrant de saisissants contrastes d’émeraude et de turquoise.

Village tranquille et familial avec son bord de plage tapissé par les nappes des brodeuses, Ampangorina vous permettra de faire quelques achats d’artisanat, ou de vanille. Les enfants et les plus grands seront ravis de visiter le parc des makis (lémuriens), qui savent se montrer très familiers, et très gourmands de bananes. En fin de matinée, appareillage pour Nosy Tsarabanjina (27 milles, soit 5 heures de navigation).

En quittant Nosy Komba, sur tribord, Nosy Vorona, (l’île aux oiseaux), est un petit rocher paradisiaque, de la taille de 2 terrains de football. Une concession a été accordée par le service des phares et balises, moyennant l’entretien d’un petit phare utile aux plaisanciers. Un des seuls encore en service à Madagascar. Puis, Nosy Faly et ses grandes plages de sable blanc, se profile sur tribord. Au terme de quelques heures de navigation, Tsarabanjina, la belle (ou l’île de sable blanc). Terre sacrée des Sakalava, elle développe sur une vingtaine d’hectares sa végétation luxuriante et ses plages immaculées.

Avifaune importante : poules d’eau, frégates, cormorans, ankoay ou aigle pêcheur de Madagascar pour les plus chanceux.

Tsarabanjina, au nord-ouest, se rapprochent les 4 frères. Ces 4 monolithes volcaniques caractéristiques, forment un quadrilatère émergeant de la surface de la mer. Sous certains angles, leur alignement est parfait.

A l’aube des temps, les dieux avaient envoyé 5 frères, gardiens des Mitsio.

Suite à une mésentente familiale, l’un deux décida un jour de partir. Le frère qui lui était le plus proche se mit à dépérir de chagrin, au point que plus aucun oiseau ne vient s’y nicher. Celui qui est parti, s’est installé au large de la Baie des Russes, on l’appelle le «  Pain de Sucre » ou le Diamant (pour ceux qui connaissent la Martinique).

Ces dômes rocheux aux parois abruptes interdisent l’accès à leurs sommets. Ils constituent un abri idéal à des milliers d’oiseaux et un site de nidification à des centaines de familles de fous bruns, phaetons à queue blanche, frégates, paille en queue. Les fous bruns (sula leucoblaste) n’hésitent pas à survoler de près le Djebel Amour II. Ils plongent à une vitesse vertigineuse dans l’océan.

Les frégates (Fregata ariel et minor) à la silhouette élancée et au plumage noir et blanc, sont qualifiées de «  cleptoparasites ». Elles viennent agresser les fous en plein vol afin de leur voler leur nourriture.

Après les 4 frères, cap sur la pointe Mitaraka, au sud-ouest de la grande Mitsio. Un phénomène géologique exceptionnel mérite le détour. Des orgues basaltiques plongent dans l’écume des vagues. Ces longues formations hexagonales, hautes de plusieurs dizaines de mètres, alignées, verticales et symétriques semblent avoir été taillées par la main de l’homme. L’ambiance du site est magique.

rapidement à Nosy Ankarea. Déjeuner à bord.
Ce site est le plus élevé de l’archipel avec un sommet culminant à 238 m.

Cette île inhabitée, formée de falaises basaltiques située à 5 milles nautiques à l’ouest de la grande Mitsio,  présente un sommet tabulaire émergeant de l’océan, tel un navire de guerre.

Sa silhouette sombre et massive reste toutefois très végétalisée.
Bien que semblant difficile, son ascension, munie d’une bonne paire de baskets, est réalisable par son flanc sud-est.  Un vol de roussettes (pteropus rufus) au cri strident rase le sommet des falaises. Ces chauves souris, aussi appelées fanihy, sont frugivores et inoffensives.
Son sommet et ses parois abruptes recèlent  une véritable forêt de végétation endémique exceptionnelle (pachypodium, hildégardia, euphorbes, baobab…)

Ses eaux, d’une limpidité remarquable, laissent apparaitre leurs fonds coralliens, jusqu’à une dizaine de mètres de profondeur.
L’érosion a crée de petites piscines naturelles peu profondes aux formes arrondies.
L’exploration sous-marine présente des conditions remarquables.
Une sieste en hamac, à l’ombre des hauts manguiers bordants la plage de sable fin, représente une alternative non négligeable aux exploits sportifs.

départ au coucher de soleil, pour rejoindre, le temps de l’apéritif, notre mouillage abrité de la baie de Maribe, à l’ouest de la grande Mitsio.

Quelques barques de pêcheurs viendront certainement vous proposer de cuisiner un cabri grillé sur la plage (en supplément ). Confortablement installés sur des nattes autour d’un feu de camp, ce méchoui improvisé est délicieux. Cette ambiance festive et authentique vous permettra de rencontrer les habitants de l’île (pêcheurs Antakarana et éleveurs Sakalava)

C’est la plus grande île de l’archipel avec 12kms de long. Elle est bordée de multiples et magnifiques plages désertiques. Plusieurs chemins permettent de se promener et de rejoindre les hautes collines herbeuses, sur lesquelles se détachent les satranas, superbes palmiers en éventail.

Quelques zébus et cabris nous rappellent l’existence d’une activité pastorale sur l’île.

de vos excursions, le départ est donné pour Nosy Lava, (temps approximatif : 2h00). C’est la 2ème plus grande île des Mitsio (3,6 kms de long). Ile déserte. Elle offre peu de plages, mais un magnifique tombolo à sa pointe Sud-Ouest. Le mouillage se fera à proximité selon les conditions.

Nosy Lava (à ne pas confondre avec son homonyme aux Radama) présente d’excellents spots de snorkling et de pêche au poppers en raison de ses côtes abruptes qu’affectent particulièrement les prédateurs. L’intérieur de l’île est d’accès plus difficile, compte tenu d’une végétation dense.

pour un long bord, Sud Sud-Ouest en direction de Nosy Fanihy (île sacrée) à la pointe Nord de Nosy be. Le passage devant les 4 frères vous permettra, si vous le désirez, de faire une escale pour le snorkling. Le tour de cette petite île (1km) abrite de très beaux fonds coralliens, découverte recommandée en snorkling. Très belle langue de sable pour les bains de soleil.

A une encablure de Nosy be, Nosy Sakatia vous accueillera pour votre dernière nuit et un retour en douceur vers la civilisation. Cette dernière, située à 1 mille nautique à l’ouest de Nosy be est appelée l’île aux orchidées ; on y trouve une grande variété de plantes tropicales. Peuplée d’environ 250 habitants, ces derniers ont tracés de jolis sentiers forestiers à travers les plantations d’ylang ylang, de vanille, de poivre et de café. Des multiples caméléons et chauve souris y ont élu domicile.

Cette île très vallonnée offre de beaux panoramas dans ses hauteurs. L’odeur du toka gasy (rhum traditionnel distillé dans des alambics artisanaux) flotte aux alentours des villages, invitation à une dégustation modérée. Au choix, mouillage devant une plage sauvage, ou bien devant l’un des deux hôtels.

de votre départ, flânerie sur l’île ou retour matinal au cratère. Ce séjour vous est proposé à titre indicatif, vous pouvez l’écourter, comme le prolonger, ou modifier certaines destinations, selon vos désirs. Le choix des mouillages reste fonction des conditions météorologiques. Nous sommes à votre disposition pour élaborer ensemble votre « voyage à la carte ».

couplée à la croisière « Le Nord Sauvage » permet, des Mtisio, de rejoindre le Cap Saint Sébastien et ses nombreuses îles inhabitées. De Nosy Lava (à partir du jour 4), un bord de 18 milles nautiques permet de rejoindre la baie d’Andranoaomby, à l’abri du Varatraza (puissant alizé du Nord-Est).

Ce village de pêcheurs de quelques dizaines d’habitations est accueillant. 

Le fond de la baie est bordé par une vaste mangrove. Le passage de la pointe Mandaovoa offre une superbe vue sur les baobabs de la pointe du cap. La visite en deux jours de la demi-douzaine d’îles autour du Cap est suffisante pour vous adonner aux joies de la bronzette, du snorkling et de quelques ballades terrestres.

du cratère, port de Nosy Be.

La navigation vers la baie du Courrier est soumise à des conditions climatiques spécifiques à cette zone. Le Varatraza, puissant alizé du Nord-Est peut souffler violemment et verrouiller l’accès à la baie. Les meilleures périodes (varatraza plus calme et absence de cyclones) sont d’octobre à décembre, avril et mai. Pour optimiser la réussite de cette croisière, deux jours de longues navigations sont nécessaires pour rejoindre le Cap Saint Sébastien.

C’est du mouillage d’Andranoaomby que se décide le départ pour l’Archipel de Nosy Hara (28 miles) soumis à un créneau météo clément. En effet, lorsque le Varatraza est établi, il souffle vent de bout et lève une mer hachée qui rend difficile la traversée.

En attendant les meilleures conditions, les nombreuses îles du Cap Saint Sébastien sont une magnifique zone à découvrir. Se tenir prêt à appareiller dès l’accalmie, de jour comme de nuit.

Compte tenu de ces prérogatives, le programme de navigation reste aléatoire. L’équipage mettra tout en œuvre pour vous mener à destination. Il n’est hélas pas exclu de ne pouvoir rallier l’archipel. Dans ce cas, votre croisière se déroulera entre les îles du Cap Saint Sébastien, la découverte de la presqu’île d’Orontany, la baie d’Ampamonty et l’ensemble de l’Archipel des Mitsio.

• Jour 1 : départ tôt du cratère pour rallier la grande Mitsio et le mouillage abrité de Maribe (47 miles).
• Jour 2 : Grande Mitsio – Baie d’Andranoaomby (30 miles).
  Mouillage bien abrité en attendant les conditions optimum pour atteindre la Baie du Courrier.

pour explorer l’Archipel somptueux de cette baie. Du mouillage sécurisé de Nosy Hara, les îles sont à quelques milles nautiques et se font à la journée.

• Nosy Hara

De forme allongée, l’île de Nosy Hara s’étend sur 3,7 x 0,600 km, soit une superficie de 312 ha. Elle est constituée dans son ensemble de calcaire fortement érodé, entrecoupé de plusieurs larges failles occupées par une végétation dense entre 5 et 12 m.

Aucune véritable grotte n’est cependant connue de cet ensemble et le site ne semble pas présenter de réseau hydrographique. Une dizaine de plages borde ses contours dont deux plus remarquables, au Nord et l’Ouest, dignes de plus belles cartes postales. C’est face à celle de l’Ouest que nous mouillons habituellement.

Elle abrite 31 espèces d’oiseaux et 16 espèces de reptiles dont le lézard bleu, espèce endémique des Tsingy, l’aigle pêcheur (pygargue malagasy) qui est un oiseau de proie endémique classé parmi les animaux en danger sur le plan international. Présence de fanihy (pteropus rufus : grande chauve souris frugivore). Au Nord, se développe un immense récif corallien long d’une quinzaine de km dont la richesse de la faune et de la flore sous marine seront bientôt classés. Sa surface s’étend sur 55 550 ha.

La traversée de cette ile se fait à pied en 2h00., le circuit fait 3 kms. L'accès se fait par la plage, et Djebel Amour vient vous chercher de l'autre côté. La vue y est somptueuse.

• Nosy Vaha

Ilot corallien triangulaire de 600m de long. Faiblement végétalisé, il abrite une jolie plage à sa pointe Sud Ouest. Situé près du tombant continental, il est entouré d’un platier corallien en bonne état de santé.

• Nosy Foty

A peine végétalisé, cet îlot de sable de 300m de diamètre est entièrement bordé de plages dont l’accès est défendu par un vaste lagon découvrant à marée basse. Les tombants sont intéressants pour le snorkling. Lieu d’observation des sternes.

• Nosy Antalalovo

A 1,3 milles du mouillage de Nosy Hara, ce confetti de 300m présente un relief karstique érodé. 3 petites langues de sable l’entourent.

• Nosy Anjombavola

2ème île la plus grande l’archipel. Elle développe sur 1 km ses majestueuses tours de calcaire. Une magnifique plage à sa pointe Sud permet de combiner les plaisirs du snorkling, du farniente. Elle constitue avec l’île voisine.

Elle est le siège de multiples fady (interdits) en raison de la présence de tombeaux royaux (interdiction de crier, jurer, siffler, ramasser des coquillages, et camper). Par contre, rien ne vous empêcher de récolter les nombreuses huitres accrochées aux blocs immergés.

• Nosy Andantsara

Le camps de NewSeaRoc n'esiste plus.Cette île, était gérée par NewSea Roc (camp corail). Mathieu Delacroix avait obtenu l’autorisation royale de grimper sur cette île. Il y a donc des principes et quelques règles à respecter afin que l’esprit des ancêtres repose en paix. Il y organise des séjours de 3 jours minimum, c’est le paradis des grimpeurs. De nombreuses voies d’escalade en font un spot renommé. Cette île est composée de 2 sommets rocheux, dont un accessible à pied, découvrant un point de vue extraordinaire sur toute la baie.

• Nosy Lakandava

Cette île à une encablure de l’Ouest de Nosy Andantsara est constituée de plusieurs îlots reliés par des bancs de sable. Encore plus découpé que ses îles sœurs, son relief est remarquable, véritables citadelles de pierres surgissant des flots.

Les tombants de la côte Ouest sont faciles d’accès. L’extrémité Nord de la plage accueille une zone boisée où il fait bon pique niquer et faire la sieste dans les hamacs. Son accès à marée basse reste délicat compte tenu du platier découvrant.

• Nosy Mely

Ilot le plus Sud de l’Archipel, il est composé de blocs basaltiques. Son ascension est facile et permet de découvrir un panorama à 360° embrassant l’ensemble de la Baie du Courrier, la montagne d’Ambre et les îlots de Nosy Hara.

Deux plages et de nombreux coquillages. Présence d’un surprenant piton rocheux détaché à l’extrémité d’une des plages.

D’autres petits îlots karstiques sont d’accès plus difficile (Nosy Ambatomarangisti, Nosy Belomotro).

au vent portant, permettra dans de bonnes conditions, de rejoindre le Cap Saint -Sébastien. Mouillage à l'abri dans la baie d’Andranoaomby.

pour rallier Nosy Ankarea à l'heure du déjeuner.
L’île d’Ankarea est la plus élevée de l’archipel avec un sommet culminant à 238 m.

Cette île inhabitée, formée de falaises basaltiques située à 5 milles nautiques à l’ouest de la grande Mitsio, présente un sommet tabulaire émergeant de l’océan, tel un navire de guerre. Sa silhouette sombre et massive reste toutefois très végétalisée.

Bien que semblant difficile, son ascension, munie d’une bonne paire de baskets, est réalisable par son flanc Sud-Est. Un vol de roussettes (pteropus rufus) au cri strident rase le sommet des falaises. Ces chauves souris, aussi appelées fanihy, sont frugivores et inoffensives. Son sommet et ses parois abruptes recèlent une véritable forêt de végétation endémique exceptionnelle (pachipodiums, hildégardia, euphorbes, baobab…) Vue à couper le souffle, s’étendant du Cap Saint Sébastien à Nosy Be et embrassant l’ensemble de l’Archipel des Mitsio. Ses eaux, d’une limpidité remarquable, laissent apparaitre leurs fonds coralliens, jusqu’à une dizaine de mètres de profondeur.

L’érosion a crée de petites piscines naturelles peu profondes aux formes arrondies. L’exploration sous-marine présente des conditions remarquables. Une sieste en hamac, à l’ombre des hauts manguiers bordant la plage de sable fin, présente une alternative non négligeable aux exploits sportifs.

En fin d’après-midi, départ au coucher de soleil, pour rejoindre, le temps de l’apéritif, notre mouillage abrité de la baie de Maribe, à l’ouest de la grande Mitsio. 

C’est la plus grande île de l’archipel avec 12km de long. Elle est bordée de multiples et magnifiques plages désertiques. Plusieurs chemins permettent de se promener et de rejoindre les hautes collines herbeuses, sur lesquelles se détachent les satranas, superbes palmiers en éventail. Quelques zébus et cabris nous rappellent l’existence d’une activité pastorale sur l’île.

la grande Mitsio, nous nous dirigeons vers Nosy Tsarabanjina la belle (ou l’île de sable blanc). Terre sacrée des Sakalava, elle développe sur une vingtaine d’hectares sa végétation luxuriante et ses plages immaculées. Avifaune importante : poules d’eau, frégates, cormorans, ankoay ou aigle pêcheur de Madagascar pour les plus chanceux.

Cette île accueille un hôtel de charme dont les bungalows n’altèrent pas son côté sauvage. Le temps d’un bain dans ses eaux turquoises, et nous continuons pour Nosy Komba dont le village principal est Ampangorina.

et familial avec son bord de plage tapissé par les nappes des brodeuses,  Ampangorina vous permettra de faire quelques achats d’artisanat, ou de vanille.

Les enfants et les plus grands seront ravis de visiter le parc des makis (lémuriens), qui savent se montrer très familiers, et très gourmands de bananes. Mouillage et nuit soit devant le village, soit au Sud de l’île, devant le « Tsara Komba Lodge ». Ce mouillage moins fréquenté est l’occasion d’un cocktail au coucher de soleil dans cet hôtel de charme. C’est aussi une excellente table, sur réservation 24h à l’avance. Un accueil chaleureux nous est toujours réservé. Bonne transition pour un doux retour à la civilisation.

de Nosy Komba en direction du parc national de Nosy Tanikely.

C’est une toute petite île, pleine de charme, un vieux phare domine l’île et offre une vue à 360° . En y accédant, vous pourrez rencontrer d’importantes colonies de chauves souris frugivores (Fanihy), de caméléons et de makis. La beauté de ses fonds est réputée autant que les espèces que l’on peut y croiser.

L’endroit est incontournable, vous ne pourrez qu’apprécier ce dernier site (snorkling, baignade).

Le retour au Cratère se fera en fin d’après-midi.